L’évènement a réuni près de 1 600 participants tout au long de la journée, issu du milieu socioéconomique, académique et de la recherche pour la majorité d’entre eux. Cette conférence fut organisée par l’institut de recherche universitaire en intelligence artificielle, données et robotique, FARI, qui a associé des institutions européennes, des entreprises privées, des organisations belges et internationales ainsi que des associations de recherche. Cet institut initié conjointement par la Vrije Universiteit Brussel (VUB) et l’Université libre de Bruxelles (ULB) vise à promouvoir le bien commun en se basant sur des valeurs académiques, éthiques, civiques et durables.

 

Dans le cadre de cet évènement, l’ambassade de France en Belgique a financé la venue d’intervenants français parmi lesquels figurent Raphael Marchou, directeur du développement chez Histovery, la première plateforme mondiale pour les modèles 3D. Ainsi que Sophia Baladi, directrice du développement chez Ask Mona dont la mission est de rendre la culture plus accessible et immersive grâce à des outils tels que les assistants-virtuels interactifs et les aimants intelligents.

 

Plus de 50 intervenants ont animé 11 sessions thématiques autour de sujets clés. Les discussions ont abordé des questions telles que le rôle de l’IA, des données et de la robotique dans les missions de service public, les conditions pour qu’une innovation privée bénéficie réellement à l’intérêt public, ou encore les défis liés à l’ouverture et à l’accessibilité de la recherche en IA. Parmi les autres thématiques, les conférenciers ont exploré l’importance stratégique de l’IA pour l’Europe, les moyens de collaboration entre citoyens, entreprises, gouvernements et chercheurs, ainsi que le potentiel de l’IA dans la culture et les arts.