Spectacles vivants
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27
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novembre
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Performance "Sick sad world" de Tarek Lakhrissi
Dans la nouvelle création de Tarek Lakhrissi SICK SAD WORLD, nous sommes invité·es à nous rassembler autour d'un lit de pierre où un adolescent exprime son sentiment d'être un excentrique.
Le décor créé par l'artiste, dans le cadre de l'exposition Risquons–Tout au WIELS, est celui d'une chambre d'adolescent avec des drapeaux sur lesquels sont brodés les mots “sick”, “sad” et “world” à la place des posters d'idoles. L'adolescent est maquillé de façon monstrueuse et le paysage de rêve dans lequel Tarek Lakhrissi situe ce portait oscille entre classique et théâtralité.
Pensez à un opéra du 17e siècle mélangé à la série culte des années 90 Buffy contre les vampires. SICK SAD WORLD fait partie d'un cycle, au sein de la jeune œuvre de l'artiste, qui se concentre sur des mondes alternatifs et futuristes dans lesquels les expressions des communautés queer et minoritaires sont incarnées sous forme de "fabulations". La représentation, fortement influencée par les conversations sur l'oreiller, l'esthétique lyrique de l'opéra et la synchronisation labiale queer, sera accompagnée d'un soundscape obsédant de musique électronique et de voix off qui menace de nous hanter tou·te·s dans nos rêves.
Le décor créé par l'artiste, dans le cadre de l'exposition Risquons–Tout au WIELS, est celui d'une chambre d'adolescent avec des drapeaux sur lesquels sont brodés les mots “sick”, “sad” et “world” à la place des posters d'idoles. L'adolescent est maquillé de façon monstrueuse et le paysage de rêve dans lequel Tarek Lakhrissi situe ce portait oscille entre classique et théâtralité.
Pensez à un opéra du 17e siècle mélangé à la série culte des années 90 Buffy contre les vampires. SICK SAD WORLD fait partie d'un cycle, au sein de la jeune œuvre de l'artiste, qui se concentre sur des mondes alternatifs et futuristes dans lesquels les expressions des communautés queer et minoritaires sont incarnées sous forme de "fabulations". La représentation, fortement influencée par les conversations sur l'oreiller, l'esthétique lyrique de l'opéra et la synchronisation labiale queer, sera accompagnée d'un soundscape obsédant de musique électronique et de voix off qui menace de nous hanter tou·te·s dans nos rêves.
Informations sur le site du Kunstenfestivaldesarts